Nos 10 conseils pour réussir sa colle d’anglais en prépa
Réussissez vos colles d’anglais en prépa avec nos 10 meilleurs conseils
La colle, moment douloureux et pourtant indispensable à endurer lors de ses années de classe préparatoire, est une sorte de petit examen oral qui a lieu généralement une fois par semaine, la matière variant d’une semaine à l’autre. Elle prépare notamment les étudiants de prépa et futurs candidats aux épreuves d’admission des concours des grandes écoles qui les attendent une fois leur admissibilité déclarée.
La colle d’anglais est un exercice classique et, contre toute attente, commun à toutes les filières de classe préparatoire: la prépa économique (dite prépa HEC), la prépa littéraire (dite hypokhâgne et khâgne) et la prépa scientifique. En effet, presque toutes les grandes écoles auxquelles conduisent ces classes prépa présentent la même épreuve d’anglais à l’oral: le candidat a un certain temps de préparation pour lire un article de presse tiré d’un journal ou d’un site d’actualité anglophone et doit ensuite le lire, le résumer brièvement et le commenter face à un jury.
Nos experts se sont intéressés à l’épreuve orale en anglais et vous livrent leurs 10 meilleurs conseils pour préparer et réussir votre colle d’anglais en classe préparatoire.
Nos 10 conseils :
- Lisez régulièrement la presse anglophone
- 1, 2, 3 : Fichez!
- Cultivez-vous !
- Révisez votre grammaire anglaise
- Enrichissez votre vocabulaire
- Allez au cinéma, écoutez la radio, repassez-vous la dernière saison de Game of Thrones ou Breaking Bad, selon votre camp.
- Apprenez à présenter un texte
- Ne négligez pas les transitions
- Gérez votre temps
- Practice makes perfect
1. Lisez régulièrement la presse anglophone
S’il n’y avait qu’un seul conseil, qu’une seule règle pourrions-nous même dire, à retenir, il s’agirait inévitablement de celui-ci : lisez les journaux, sites internet d’actualité et même des blogs liés à l’actualité anglophone. Que vous passiez les concours d’écoles d’ingénieurs, de l’ENS ou encore des écoles de commerce, vous serez confronté à l’épreuve de résumé et d’analyse d’un article de presse.
Compte tenu du niveau élevé des concours, il n’est évidemment pas question de faire un résumé linéaire de l’article et de poser une question ouverte passe-partout en fin d’exposé. Vos examinateurs s’attendront à une véritable réflexion de votre part ainsi qu’une capacité d’analyse de l’article à travers le prisme de votre connaissance de l’actualité et de la culture du pays dont il est question.
Une lecture régulière de la presse anglophone vous donnera un bagage culturel qui fera une grande différence le jour de votre colle et de votre concours. Par exemple, vous serez plus à même à analyser le point de vue subjectif d’un journaliste sur un événement actuel et à le mettre en perspective avec d’autres articles que vous avez lus ou avec d’autres fait d’actualité. Enfin, il est impératif que vous sachiez faire le lien entre l’article qui vous est donné à lire et la vie socio-économique et politique du pays.
Fixez-vous des objectifs hebdomadaires de lecture: un article du New York Times et un article de The Economist chaque semaine par exemple. Pensez à alterner vos sources (Time Magazine, Courrier International, The Guardian, The Wall Street Journal) afin d’avoir une vue d’ensemble sur la presse anglophone et connaître approximativement les lignes éditoriales et convictions de chaque journal. N’oubliez pas non plus de lire autant d’articles de la presse nord américaine que de la presse anglo-saxonne.
2. 1, 2, 3 : Fichez!
En règle générale, les articles de presse qui tombent aux concours ont été publiés dans les dix derniers mois précédant le jour de l’examen. Cependant, difficile de retenir tout ce qui s’est passé et écrit dans les journaux sur dix mois : d’où l’importance de se constituer quelques fiches, qu’il sera bien pratique de relire dans les semaines de préparation aux oraux (plutôt que de parcourir fébrilement une pile d’articles entassés depuis septembre dernier et dont il ne vous reste qu’un vague souvenir).
Dans la lignée de vos objectifs hebdomadaires de lecture, fixez-vous un objectif de fiche. La constitution de fiche est un travail assez personnel pour lequel chacun a sa méthode ; pour les non-initiés, voici ce que nous vous proposons :
Des fiches par thèmes
En lisant la presse de manière régulière, vous remarquerez que les thèmes d’actualité les plus importants sont récurrents, parfois présents dans tous les numéros d’un hebdomadaire ou d’un quotidien sur une certaine durée (la crise économique de la Grèce par exemple). Il est intéressant alors d’observer l’évolution de ce fait d’actualité au cours du temps et la façon dont il est rapporté par un même journal ou par divers journaux, ce qui vous permettra de multiplier les points de vue sur un même sujet. Vous pouvez ainsi faire vos fiches en fonction de ces thèmes d’actualité importants et les agrémenter au fil de vos lectures, parfois s’étalant sur plusieurs mois.
Des fiches par pays
Faire des fiches par pays (Etats-Unis, Irlande, Angleterre) est un bon moyen pour suivre l’actualité spécifique d’un pays. Cela vous permettra d’avoir une vue d’ensemble sur les événements de l’année dans un pays et d’éviter de vous emmêler les pinceaux au moment des révisions. Il vous sera ainsi plus aisé de lier un fait d’actualité à un autre et de comprendre les enjeux d’une société donnée, dans le contexte mondial d’aujourd’hui.
Des fiches par journaux
Cette méthode est à réserver aux plus organisés et aux plus rigoureux puisqu’il s’agit de ficher les articles que vous aurez lus chaque semaine en fonction du journal dont ils ont été tirés. C’est un bon moyen pour cernerquelques grands journaux de la presse anglophone: leurs convictions politiques, économiques et sociales (libérales, socialistes), le ton de leur rédaction (satirique, pamphlétaire) et également se familiariser avec un journal, son histoire, éventuellement ses rédacteurs.
Attention: nul besoin de tout noter lorsque vous faites des fiches! Dans un premier temps, choisissez un article qui vous paraît pertinent à lire (faites judicieusement votre choix entre la culture des moutons en Irlande du Nord et l’indépendance de l’Ecosse par exemple), puis ne notez que les informations essentielles de l’article. De manière générale, ne retenez pas les chiffres mais privilégiez les dates (le mois et l’année suffisent), notez les faits principaux et leur contexte, et éventuellement le ton de l’article. Vous avez dix mois de lecture et de fiches devant vous, inutile de vous encombrer avec du superflu.
Vos fiches doivent être claires, agréables à lire et synthétiques: face à la préparation des oraux, vous n’aurez pas le temps de revoir les articles lus au cours de l’année et vos fiches, si elles ont été soigneusement enrichies tout au long de celle-ci, seront vos meilleures armes.
3. Cultivez-vous !
Votre culture générale sera toujours bienvenue dans l’argumentation de votre analyse de texte. Connaître l’actualité d’un pays est indispensable pour réussir l’épreuve de commentaire d’article, mais en connaître l’histoire, les traditions, les habitudes, les institutions, bref tout ce qui constitue la culture du pays, est un véritable plus. Cela vous permettra de comprendre la portée symbolique de certains événements actuels, qui ne font pas forcément sens pour un regard étranger. Vos examinateurs apprécieront votre intérêt et votre curiosité pour un patrimoine qui n’est pas le vôtre et votre finesse si vous parvenez à rattacher votre article à d’autres événements ou d’autres aspects de la culture du pays.
Pour cela, inutile de sortir les encyclopédies ou de lire l’intégrale de l’Histoire de l’Angleterre: vous êtes en prépa et le temps vous est compté. Mettez plutôt à profit votre temps libre (entre deux révisions de concours blancs par exemple) pour regarder un bon film sur un aspect de la culture d’un pays anglophone ou vous plonger dans un livre contemporain ou classique reconnu. Cela vous détendra tout en enrichissant votre connaissance au sujet des pays en question.
4. Révisez votre grammaire anglaise
A présent que vous avez les connaissances pour lire et comprendre un texte, il vous faut savoir en parler. Une révision complète de la grammaire de base en anglais (conjugaison, construction syntaxique, prépositions) est le minimum requis pour donner une belle présentation à l’oral. Il ne faut pas oublier que vous êtes en partie évalué sur votre pratique de la langue anglaise, en plus de vos capacités d’analyse et de synthèse.
Alors sortez vos Bescherelle et vos précis de grammaire pour vous rafraîchir un peu la mémoire: pas besoin de trop détailler vos révisions, donnez-vous simplement les outils pour vous exprimer de manière claire et juste face au jury et comprendre l’article donné sans difficulté.
Quelques points importants à revoir: les temps et conjugaisons, les prépositions, les comparatifs et superlatifs, les modaux, les pronoms interrogatifs, les relatives, les postpositions…
5. Enrichissez votre vocabulaire
Les articles de presse donnés aux concours des grandes écoles ont généralement un vocabulaire spécifique à l’économie, la politique ou la société, un article combinant souvent deux voire trois de ces domaines. Il est donc indispensable de connaître des termes tels que population growth, GNPou encore supply and demand.
Nous vous conseillons de vous constituer un petit carnet de vocabulaire que vous remplirez au fur et à mesure que vous ficherez des articles. Non seulement cela vous aidera à mieux comprendre les prochains articles que vous lirez mais cela vous permettra également de mieux les retenir par une mise en pratique constante des mots appris. Cela vous épargnera la pénible tâche qu’est d’apprendre une liste de vocabulaire sans aucun contexte d’usage. Ce carnet vous servira tout aussi bien lors des révisions de fin d’année et vous donnera des repères pour vous exprimer à l’oral. Il est en effet bien plus difficile qu’il n’y paraît de donner son opinion ou d’analyser un texte donné, si l’on manque des mots adéquats.
6. Allez au cinéma, écoutez la radio, repassez-vous la dernière saison de Game of Thrones ou Breaking Bad, selon votre camp.
L’important est que vous vous habituiez à écouter de l’anglais afin de vous familiariser avec des sonorités linguistiques qui vous permettront d’améliorer à la longue votre prononciation et votre accent. L’apprentissage d’une langue passe avant toute par sa pratique, et celle-ci implique une écoute régulière de l’anglais et d’un entraînement à la prononciation. Le jury sera sans appel face à un anglais charcuté, prenez donc soin à bien maîtriser votre élocution.
Pensez par exemple à vérifier la prononciation phonétique chaque fois que vous apprenez un nouveau mot dans un article et notez-la : cela vous aidera à ne pas l’écorcher une première fois et retenir des erreurs par la suite.
7. Apprenez à présenter un texte
La forme de votre exposé compte presque tout autant que son fond. Il est primordial que vous sachiez présenter l’article de presse dont vous allez parler avant de vous lancer dans son résumé et son commentaire.
Commencez par présenter la nature du texte : s’agit-il d’un article de journal ? Un billet de blog ? Une retranscription d’interview ? Il ne faut jamais hésiter à dire ce qui peut vous paraître évident à première vue : partez toujours du principe que le jury ne connaît pas du tout le texte dont vous allez parler.
Ensuite, tâchez d’être plus précis dans la présentation du texte en question en lui donnant une date, un auteur si possible, et présentez brièvement la nature du journal ou du site (hebdomadaire, blog, quotidien, mensuel) ainsi que la ligne éditoriale de ce dernier si vous la connaissez (« journal satirique à tendance socialiste » par exemple). Tout le travail préalable que vous aurez accompli pendant l’année (fiches, apprentissage de la culture du pays, lecture de la presse) vous sert entre autre à bâtir cette introduction de la manière la plus pertinente et intéressante possible.
Une fois les bases établies, il vous sera demandé, pour la majorité des concours, de résumer brièvement le texte. La méthode la plus efficace alors est de suivre le texte et d’en livrer un résumé linéaire : cela vous permettra de suivre la pensée et l’argumentation de l’auteur. Attention cependant à ne pas tout dire : soyez synthétique. Ne dégagez que les idées principales du texte et ne vous perdez pas dans les anecdotes (exemples, chiffres, etc).
Ensuite vous pourrez commencer votre commentaire de texte qui doit être structuré : donnez des titres à vos parties, chacune correspondant à un axe d’analyse de l’article et faites des transitions entre chaque partie et sous-partie (voir notre conseil n°8).
Enfin, préparez votre conclusion à l’avance, afin de pouvoir conclure de manière claire en fin d’exposé. Essayez de créer une ouverture à celui-ci, en rapprochant le thème de votre article à un autre sujet d’actualité concernant le pays en question ou un autre pays, si cela est pertinent. Ne cherchez pas à faire une ouverture à tout prix et évitez les questions de type « On peut alors se demander ce qui va se passer » qui sont souvent ternes et adaptables à toute situation. Votre ouverture doit être juste, intelligente, ou ne pas exister.
8. Ne négligez pas les transitions
On ne répétera jamais assez l’importance des transitions dans une dissertation, un commentaire de texte ou un résumé de texte, ceci étant valable aussi bien pour les exercices écrits que les présentations orales.
Lors de votre temps de préparation, écrivez impérativement les transitions entre chacune de vos parties (introduction, résumé, analyse et entre chaque partie et sous-partie de l’analyse, conclusion). Cela vous évitera de vous répéter ainsi que les blancsà l’oral sous le coup du stress et vous donnera une ligne directrice: vous savez vers où vous voulez mener votre présentation et vous avez devant vous toutes les étapes pour y arriver (transitions et parties).
De plus, essayez de mettre vos transitions en avant lorsque vous vous exprimez: il ne faut pas oublier que le jury reçoit plusieurs dizaines de candidats dans une même journée et que vous n’aurez probablement pas son attention la plus totale. Il ne faut pas hésiter à articuler plus et parler (légèrement) plus fort au moment de vos transitions et les compléter de petites prépositions telles que thenou soqui vont donner du poids à votre phrase. Cela permettra à un jury même fatigué de vous suivre et comprendre où vous en êtes dans votre exposé.
9. Gérez votre temps
Le temps de préparation et le temps de présentation sont extrêmement courts lors de cette épreuve. Vous disposez de 20 à 30 minutes de préparation pour 15 à 20 minutes de passage, selon l’école pour laquelle vous postulez. Les colles sont à ce titre d’excellents entraînement pour apprendre à gérer votre temps, à vous familiariser avec l’exercice et évaluer le temps dont vous avez besoin pour chaque tâche à accomplir. Il n’y a pas de schéma type: à vous, bien entendu, de trouver votre rythme de préparation et de présentation. Voici néanmoins quelques indications de temps pour vous aider à vous organiser face à votre texte en colle, pour 20 minutes de préparation et 15 minutes de présentation:
Dans un premier temps lisez une première fois le texte, en commençant à prendre quelques notes générales (thème de l’article, date, auteur, structure approximative de l’article). Puis lisez le une deuxième fois en prenant cette fois des notes plus précises sur son contenu (structure divisée en parties, ton de l’article, argumentation, etc). A l’issue de cette démarche, vous devez avoir une idée des axes importants de l’article qui vont constituer vos axes d’analyse, ainsi que de la construction de l’article, qui va constituer votre résumé. Cette première étape doit vous prendre entre 5 et 8 minutes. Pensez à surligner/souligner les passages importants lors de ces deux premières lectures: vous n’aurez pas le temps de relire l’article en entier par la suite.
Ensuite, rédigez votre introduction et votre conclusion. Cette étape est impérative et trop souvent négligée par les étudiants qui, en fin de parcours, stressés par leur présentation, ne savent plus comment la finir et en bâclent la conclusion. Celle-ci sera la dernière impression que vous laisserez à votre jury ou votre colleur, faites en sorte qu’elle soit bonne! De même une bonne introduction n’est nullement superflue, puisqu’elle va instaurer les bases de votre exposé et doit, en principe, donner au jury l’envie de vous écouter.
Prenez ensuite 3 à 4 minutes pour écrire votre résumé de manière organisée, sans en oublier les transitions entre chaque partie. Attention: n’écrivez pas tout, mais résumez plutôt vos idées sous forme de mots clés: vous n’avez pas le temps d’écrire des phrases entières.
L’analyse vous prendra le plus gros de votre temps: comptez environ 10 minutes pour construire votre plan, en choisissant judicieusement vos arguments et les exemples (tenez-vous en au minimum) que vous souhaitez présenter. Pensez à élargir les propos du texte à d’autres faits d’actualité et à les intégrer à votre plan.
Enfin, gardez toujours deux minutes pour relire une dernière fois votre plan et vous remettre en mémoire votre introduction et votre conclusion, avant de vous rendre en salle de présentation. Cela vous permettra de visualiser clairement votre point de départ et le point vers lequel vous souhaitez aller au cours de votre présentation.
10. Practice makes perfect
Le format de l’épreuve invite inévitablement à l’improvisation. Le temps imparti, très court, ne vous permet pas d’écrire toutes vos phrases et les belles tournures que vous souhaiteriez employer. Plus qu’un exercice d’analyse de texte, il s’agit à proprement parler d’un exercice d’anglais puisque sa réussite requiert une certaine vivacité et maîtrise de la langue pour pouvoir exprimer vos idées rassemblées en un temps limité et que, dans le meilleur des cas, vous avez pu résumer sous forme de mots clés et de quelques surlignages dans le texte.
Le meilleur outil de réussite à vos colle d’anglais en prépa et, ultimement, à vos épreuves d’admission est de vous entraîner encore et encore, afin d’acquérir ce niveau d’aisance d’une part en anglais oral, d’autre part en lecture et analyse d’article de presse. Il s’agit donc d’une épreuve qui ne se prépare pas la veille de l’examen mais sur le long terme, au cours de votre année scolaire.
Les colles constituent les meilleurs cadres d’entraînement dans la mesure où votre colleur pourra vous reprendre avec justesse sur ce qui vous bloque encore et où vous êtes dans les conditions du concours. Pensez également à vous entraîner avec vos camarades de classe, vos proches, ou même seul: chaque fois que vous lisez un article de presse, ayez le réflexe d’en faire un résumé court et efficace, ainsi que d’y déceler le plus rapidement possible des axes de réflexion.
Enfin, entraînez-vous surtout à parler en anglais. C’est le moyen le plus efficace pour progresser et apprendre à vous exprimer de manière fluide, sans hésitation ni tics de langage. Pour cela, essayez d’instaurer une routine de conversation avec un anglophone de votre connaissance ou tout simplement, lancez-vous sur un sujet donné et parlez-en le plus naturellement possible pendant une durée impartie.
Réussir sa colle d’anglais en classe préparatoire demande ainsi du travail sur le long terme. Rien ne sert de réviser en panique la veille de votre oral: l’exercice du résumé et de l’analyse d’un article de presse exige des compétences qui s’acquièrent et s’entretiennent au fil des jours et des mois. C’est pourquoi les colles sont d’excellents entraînements pour les concours d’admission des grandes écoles: elles vous permettent de mettre en pratique vos acquis et de vous entraîner dans les conditions du grand jour. Ce sont des opportunités de préparation précieuses et il ne tient qu’à vous d’en tirer le plus de profit possible.